Elle passait son temps à insulter les Algériens et les Algériennes. Ses macs d’en haut lui recommandaient de cibler tout particulièrement les Kabyles. Elle ira peut être en prison pour méditer et soigner ses pulsions…. haineuses. Naima Salhi, que l’ex DGSN, Abdelghani Hamel (en prison), du temps de la içaba, avait imposée comme députée représentante de la conscription électorale de Boumerdés est condamnée, ce mercredi 16 novembre 2022, en première instance, à la prison. 6 mois ferme plus une amende entre 50.000 et 20.000 dinars. Le parquet du tribunal correctionnel de Charragas (Alger) qui a jugé l’affaire avait requis 2 ans de prison ferme et 100.000 dinars d’amende. L’accusée est poursuivie par Amiri Mourad pour des ’’propos diffamatoires, atteinte à l’unité nationale et publications portant atteinte à l’intérêt national’’. Dans affaire similaire, Naima Salhi devra également répondre quasiment aux mêmes accusations à la suite d’une plainte d’un collectif d’avocats de Kabylie. Cette femme, présidente d’un parti politique qui n’existe que sur papier, le PEP, avait juré d’égorger sa fille si elle venait à parler en Tamazight. Parce qu’elle était protégée et encouragée par les partisans de zéro Kabyles, elle se permettait de lancer de l’intérieur d’une institution de la République, l’APN en l’occurrence, des insinuations dégradantes et raciales à l’encontre de la Kabylie et de ses habitants. Une fois ‘le cadre’, sa fratrie, ses affidés, ses complices et les ‘cachiristes de tout bord’ chassés du pouvoir, la justice a fini par instruire les deux plaintes déposées, l’une par des avocats de Kabylie et l’autre par Amiri.
Ahmed Hammimi.